voyagesmillebornes - Mot-clé - pays arabes - Commentaires2024-03-29T07:13:19+00:00Marie Jouanneurn:md5:388105007a7a07d380caff77cb265daaDotclearComprendre le conflit israélo-palestinien sans se prendre la tête. - naked girls getting laidurn:md5:6a4c5e4c85c72ae6129bb0dd1384350c2016-08-20T21:46:14+02:002017-04-25T22:39:50+02:00naked girls getting laid<p>Thanks very interesting blog!</p>Comprendre le conflit israélo-palestinien sans se prendre la tête. - sexcam liveurn:md5:141e5b7550b8b2e4e4f4afe6f133e6042016-08-19T04:51:24+02:002017-04-25T23:00:02+02:00sexcam live<p>Thankfulness to my father who shared with me concerning this web site, this
website is genuinely amazing.</p>Comprendre le conflit israélo-palestinien sans se prendre la tête. - mamaxeurn:md5:06f14560421187a97c45f4bf5d793cc32010-06-08T03:18:09+02:002010-06-08T06:09:51+02:00mamaxe<p>Un petit rappel Historique pour montrer que cette région a quand même une
histoire évolutive dans le temps que personne ne peut nier.</p>
<p>La Palestine est située à l'extrémité orientale de la Méditerranée. Son nom
elle l'a reçu des Grecs puis des Romains, d'après celui des Philistins peuple
de la mer venu de Crète, qui sont maîtres de la côte fertile au XII e siècle
av. J.-C. (vous avez déjà une réponse Mr. Romain),</p>
<p>Ses frontières ont beaucoup varié au cours des siècles. Parfois, elles se
confondent au nord avec le fleuve libanais Litani - l'antique Leontès -,
englobant les villes de Gaza et de Beersheba au sud, et vont de la
Méditerranée, à l'ouest, jusqu'au Jourdain et à la mer Morte, à l'est.</p>
<p>Les Philistins (Assyrien Palastu ou Pilistu, hébreu : פְּלִשְׁתִּים -
pelištīm, en arabe : فلسطينيون - filasṭīnīun) sont un peuple de l'Antiquité
connus par différentes sources textuelles (assyriennes, hébraïques,
égyptiennes) et archéologiques.</p>
<p>Les Philistins apparaissent dans des sources égyptiennes au XIIe siècle av.
J.-C. et sont présentés comme des ennemis de l'Égypte venus du nord, mélangés à
d'autres populations hostiles connues collectivement sous le nom de peuples de
la mer.</p>
<p>Après leurs affrontements avec les Égyptiens, les Philistins se sont fixés
sur la bande côtière du sud-ouest de la terre de Canaan, c'est-à-dire dans une
région longeant la Méditerranée depuis l'actuelle bande de Gaza jusqu'à
Tel-Aviv.</p>
<p>Leurs cités ont dominé la région jusqu'à la conquête assyrienne de
Teglath-Phalasar III en -732. Ils sont par la suite soumis aux empires
régionaux, et semblent progressivement s'y assimiler. Les dernières mentions
des Philistins datent du IIe siècle av. J.-C., dans le premier des Livres des
Macchabées[1].</p>
<p>Si vous avez des doutes...Des gravures existent à nos jours sur le bas
relief de prisonniers philistins sur la facade sud du deuxième pylône du temple
mortuaire de Ramsés III</p>
<p>Plus avant encore...Des fouilles au sud du lac de Tibériade et dans d'autres
parties de la vallée du Jourdain ont permis de mettre au jour des traces
d'hominidés remontant au paléolithique inférieur, soit datant de plus d'un
million d'années. D'autres fossiles découverts ont un âge estimé à environ 300
000 ans.</p>
<p>Ces hommes là c'était des autochtones et non pas des hébreux Mr. Romain. Je
poursuis...La fréquentation des grottes par l'homme semble commencer à
l'acheuléen supérieur. Le fossile L'homme de Galilée date d'environ 140 000
ans.<br />
Entre le XIe millénaire av. J.-C. et le IXe millénaire av. J.-C. se développe,
en Judée et Samarie, la civilisation natoufienne, sans doute nomade, dont on
retrouve les vestiges[1]. Cette civilisation aurait été composée de deux
groupes de populations légèrement différents, d'une part des ancêtres de
peuples du type eurafricain (Palestine, Irak, Iran et Anatolie des temps
historiques) et l'ancêtre des proto-méditerranéens également nombreux en
Palestine.<br />
Dès le IXe millénaire av. J.-C., des peuplades néolithiques ont domestiqué des
plantes, des animaux, se sont sédentarisées et pratiquent l’agriculture et
l’élevage. Vers 10 000 à 8 000 avant JC, l'outillage en os paraît prendre une
réelle importance et le mobilier en pierre un essor caractéristique. À cette
période, les conditions climatiques sont favorables (plus de précipitations et
températures moins élevées).<br />
Dès le VIIIe millénaire av. J.-C., la ville de Ariha (actuelle Jéricho),
constitue une des plus anciennes cités du monde. On estime que cette époque
coïncide avec les premières cités en tant que telles constituées.<br />
Au cours du dernier quart du VIIe millénaire av. J.-C., la céramique fait son
apparition, ainsi que d'autres formes d’artisanat que l'on retrouve encore chez
les populations palestiniennes.</p>
<p>La Palestine du VIe et de la première moitié du Ve millénaire av. J.-C.est
mal connue. On suppose des déplacements de populations qui peuvent être dus à
des variations climatiques. Les reliefs et la région côtière sont occupées par
une civilisation à caractère forestier comme en témoigne la prédominance des
instruments destinés au travail du bois.<br />
Au milieu du Ve millénaire av. J.-C., d'anciens sites de la vallée du Jourdain
comme celui de Ariha sont à nouveau occupés avec l'amélioration des conditions
climatiques.<br />
A la fin du Ve millénaire av. J.-C., la Palestine atteint un niveau de
développement économique et culturel se rapprochant de celui des civilisations
du nord de la Syrie qui avaient bénéficié plus tôt d'influences
nord-mésopotamiennes.<br />
Au IVe millénaire av. J.-C. : La civilisation cananéenne est organisée sur un
système de cités-États, fruits d'une osmose entre agriculteurs sédentaires et
pasteurs semi-nomades.<br />
Dans la première partie du IVe millénaire av. J.-C., les techniques de la
métallurgie et du travail de l’ivoire, arrivent du nord. On voit alors
apparaître des structures techno-économiques adaptées aux régions sèches : y
vivent de petites collectivités vivant de la culture de céréales et de
l'élevage du gros et du petit bétail.<br />
Dans la seconde partie du IVe millénaire av. J.-C., c'est l'Égypte qui
influence la région.<br />
Vers la fin du IVe millénaire av. J.-C. la civilisation des
agriculteurs-éleveurs disparaît sans qu'il soit possible d'établir de lien avec
la formation de la civilisation cananéenne du IIIe millénaire av. J.-C..
Jusqu'à 2400 avant JC, le climat était un peu plus humide que de nos
jours.<br />
L'inauguration d'échanges entre la Palestine et l'Égypte, à travers le désert
du Sinaï, vers la fin du IVe millénaire av. J.-C., est un événement de première
importance car jusqu'alors la Palestine avait été un "cul-de-sac" soumis aux
seules influences asiatiques. Ces relations prennent une ampleur considérable,
grâce à l'utilisation du bovidé comme animal de bât, capable de franchir les
quelques 200 kilomètres de quasi-désert séparant le sud palestinien du delta
égyptien. Dès lors, la Palestine joue le rôle de zone de passage où se croisent
les influences, et souvent les armes, des grands empires d'Égypte et du
Proche-Orient asiatique.</p>
<p>Le IIIe millénaire av. J.-C. est celui de la civilisation cananéenne qui
s'étend au-delà de la fin de la préhistoire. Bien que l'écriture n'apparaisse
pas en Palestine avant la seconde moitié du IIe millénaire av. J.-C., compte
tenu de l'état de surproduction, de centralisation et de redistribution des
surplus alimentaires, il est généralement considéré par les historiens que ce
nouvel ordre économique, social et politique marque l'entrée de la Palestine
dans l'histoire, soit dans le courant du IIIe millénaire av. J.-C.. Par les
échanges avec l’Égypte, la région se développe et s’enrichit, se spécialise
dans le commerce de la céramique et de nombreuses constructions voient le jour.
De nombreuses villes cananéennes se développent et se fortifient.<br />
La période cananéenne IIIe millénaire av. J.-C. au milieu du XVIe siècle av.
J.-C. [modifier]<br />
Les historiens considèrent généralement que la période cananéenne s'étale du
début du IIIe millénaire av. J.-C. à la fin du XXIIIe siècle av. J.-C.</p>
<p>Au sortir du IIIe millénaire av. J.-C., des populations semi-nomades
franchissent le Jourdain et pénètrent en Palestine, provoquant l'effondrement
des structures socio-économiques qui y prévalaient : les agglomérations sont
détruites et abandonnées et l'économie palestinienne se convertit à
l'élevage.<br />
A partir du XIXe siècle av. J.-C., il est supposé une augmentation du nombre
des installations permanentes, et une diminution de celui des tribus ; mais il
semble que l'on reste encore très proche de l'organisation tribale.<br />
Cette période durant laquelle les déplacements entre l'Asie, depuis la
Mésopotamie, et l'Égypte sont intenses correspond à un moment d'agitation
interne qui sert de prélude à l'invasion hyksôs (« Princes des pays étrangers
») de l'Égypte. Durant cette même période, les agglomérations palestiniennes
commencent à s'entourer de remparts.</p>
<p>L’existence de la cité cananéenne d'Ourchalim (Jérusalem) est attestée dans
des écrits datant du XXIe siècle av. J.-C. N'est-ce pas Mr. Romain ?</p>
<p>Les attaques et infiltrations répétées ouvrent aux Hyksôs la voie vers la
partie orientale du delta du Nil où ils font d'Avaris leur capitale. Les Hyksôs
étaient probablement des petits princes cananéens et amorrites venus de
Palestine. Contrairement à ce qu'on a pensé, les Hyksôs ne semblent pas être un
peuple sémitique car les données les plus récentes montrent, selon Dominique
Valbelle, que leur langue n'appartenait pas à la famille des langues
sémitiques.</p>
<p>Des tablettes égyptiennes les mentionnent comme des groupes d'éleveurs
nomades et de marchands pratiquant le pillage. À cette époque, la Palestine,
centre d'un empire placé sous l'autorité de la capitale hyksôs d'Avaris,
atteint un niveau de civilisation remarquable. De puissantes fortifications
entourent les résidences des roitelets palestiniens sans cesse en guerre les
uns contre les autres et recourant à des chars de guerre tirés par des chevaux.
De spacieuses demeures, comprenant cour intérieure et étage, ont été dégagées.
Elles contrastent avec les masures qui leur sont contemporaines occupées par la
masse de la population. Les tombeaux, creusés dans le roc, sont le plus souvent
des sépultures familiales ; armes et bijoux de bonne qualité accompagnent les
restes des défunts fortunés. Dans le domaine de la céramique, les formes
imitent celles de vases de métal. On voit se répandre en Palestine une poterie
dite "hyksôs", noire, lustrée et incrustée de pâte de calcaire blanche, ainsi
que des travaux sur ivoire de grande qualité, ou encore la réputation acquise
par les Cananéens dans la teinture en pourpre.<br />
Vers 1850 av. J.-C., la cité d’Ascalon (actuelle Ashquelon) est la capitale
d’un royaume cananéen et un port très actif sur la mer Méditerranée qui exporte
les produits de l’arrière-pays. Elle est ceinte d’un mur de 2 km de
circonférence, haut de 25 mètres, et la cité devait compter près de 15 000
habitants.<br />
Complétant l'œuvre de libération nationale entreprise par les pharaons de la
XVIIe dynastie, Ahmosis, le fondateur de la XVIIIe dynastie, s'empara d'Avaris
et pourchasse les Hyksôs jusqu'en Asie. Ainsi, vers le milieu du XVIe siècle
av. J.-C., l'Égypte conquiert la Palestine où le protectorat égyptien fut
maintenu pendant trois siècles et demi, durant lesquels la situation
internationale subit de nombreuses modifications : les conflits avec les
Hittites et les fréquentes révoltes des Bédouins campés dans le Néguev et le
Sinaï entraînèrent des destructions, des pillages, des déportations en
Palestine.</p>Comprendre le conflit israélo-palestinien sans se prendre la tête. - sachaurn:md5:40bc934b2535deafeaf43ff6283747a92010-03-27T22:12:57+01:002010-03-27T22:34:54+01:00sacha<p>Etant historien de profession, je ne chercherai pas à rentrer dans les
polémiques, et s'il est un sujet qu'il est difficilement possible d'enseigner
avec l'objectivité (et le calme) nécessaires c'est bien celui-là..</p>
<p>Pourtant, cela serait utile pour bien saisir les tenants et aboutissants de
la question. Pour revenir à cet article, il contient un certain nombre
d'imprécisions récurrentes, assez courantes dans l'historiographie
française.</p>
<p>D'où peut-être la réaction du commentaire précédant de Romain qui vous
reproche de partir du postulat d'une "identité" palestinienne. Ce qui est
historiquement contestable, en effet, mais doit être abordé avec précision et
rigueur pour ne pas verser dans le parti pris.</p>
<p>Un exemple : "Les troupes israéliennes prennent Haïfa, Jaffa, Acre, Safad et
Jérusalem-ouest." En réalité, Jérusalem-Ouest n'a pas été "prise" ce qui
suppose une conquête, mais est restée depuis l'encerclement de la ville par les
forces arabes, dont la Légion arabe de Transjordanie, sous direction juive.</p>
<p>Il y a eu en revanche conquête par la Légion arabe de la partie "orientale"
ainsi que la vieille ville, avec expulsion de la population juive et
destruction de leurs maisons, synagogues, écoles, université, commerces..situés
à "Jérusalem-Est".. On comprend mieux pourquoi les Israéliens parlent de
"Jérusalem réunifiée".<br />
Cette partition entre un côté arabe et un côté juif est le fruit de la guerre
de 1948 et d'une politique d'expulsion.</p>
<p>Pour information, le mandat onusion du 27/11/1947 prévoyait un référendum au
plus tard en 1958 pour décider du rattachement de Jérusalem soit à l'Etat juif
soit à l'Etat arabe. Etant donné que la ville était à majorité juive (1/6 de la
communauté juive de Palestine), il semble évident que cette dernière aurait
choisi d'être rattaché à l'Etat d'Israel.</p>
<p>Ce que ne pouvaient accepter les dirigeants arabes qui comptaient sur la
prise symbolique de la ville sainte pour démoraliser les populations juives...
Comme quoi le conflit recèle une véritable complexité qui irait bien au-delà de
ce modeste commentaire.</p>
<p>On pourrait bien sûr évoquer les pogroms anti-juifs de 1920, 1921, 1929,
1936 qui ont contribué à forger un nationalisme défensif (constitution de
groupe d'auto-défense dans les années 1930 à l'origine de la Haganah) ou encore
les conflits d'intérêts entre les Nashashibi et les Husseini à la tête du
Comité arabe..</p>
<p>Mais cela nous mènerait bien plus loin ;-)</p>Comprendre le conflit israélo-palestinien sans se prendre la tête. - Millebornesurn:md5:8b4e7cef753f36ff7420f6adf13b8d452009-04-29T08:45:31+02:002009-04-29T07:46:13+02:00Millebornes<p>En réponse au commentaire de Romain.</p>
<p>Je publie votre commentaire en raison du temps que vous avez consacré à sa
rédaction. Chacun peut laisser son opinion sur mon site en respectant les
règles de politesse.<br />
En revanche, je ne répondrai pas aux diverses questions que vous posez et ceci
pour deux raisons.<br />
Je ne suis, en aucun cas, une spécialiste de l'histoire palestinienne et je
n'ai jamais eu cette prétention. Par ailleurs, en abordant ce sujet, je voulais
poser quelques jalons simples pour ceux qui se posent des questions sur
l'origine de la situation dans cette région du Moyen-Orient. Il n'est pas
question pour moi de prendre parti pour l'un ou l'autre camp, ce que vous
insinuez..<br />
Marie</p>Comprendre le conflit israélo-palestinien sans se prendre la tête. - Romainurn:md5:c605423f59b9df6fa9147211ebd48dc72009-04-24T11:23:00+02:002009-04-24T13:00:34+02:00Romain<p>Si vous êtes si sûr que l'existence de la « Palestine » remonte très loin
dans l'Histoire, je suppose que vous serez capable de répondre aux questions
qui suivent sur ce pays, la « Palestine » :<br />
1) Quand a-t-elle été fondée, et par qui ?</p>
<p>2) Quelles étaient ses frontières ?</p>
<p>3) Quelle était sa capitale ?</p>
<p>4) Quelles étaient ses principales villes ?</p>
<p>5) Qu'est-ce qui constituait la base de son économie ?</p>
<p>6) Quelle était la forme de son gouvernement ?</p>
<p>7) Pouvez-vous nommer un chef palestinien avant Arafat ?</p>
<p>8) La Palestine a-t-elle déjà été reconnue par un pays dont l'existence, à
l'époque ou aujourd'hui, ne laisserait aucune place à l'interprétation ?</p>
<p>9) Quelle était la langue de la Palestine ?</p>
<p>10) Quelle était la religion dominante en Palestine ?</p>
<p>11) Quel était le nom de sa monnaie ? Choisissez une date dans l'Histoire,
et citez le taux de change à cette date de la monnaie palestinienne contre le
dollar US, le mark allemand, la livre britannique, le yen japonais ou le yuan
chinois.</p>
<p>12) Quels objets archéologiques les Palestiniens ont-ils laissés ?</p>
<p>13) Connaissez-vous une librairie où l'on pourrait trouver une oeuvre
littéraire palestinienne produite avant 1967 ?</p>
<p>14) Enfin, puisqu'un tel pays n'existe plus, quelle a été la cause de sa
disparition, et quand a-t-il disparu ?</p>
<p>Si vous vous questionnez sur le « lent naufrage » de cette nation autrefois
« fière », pourriez-vous dire quand, exactement, cette « nation » a été fière,
et de quoi elle était fière ?</p>
<p>Et maintenant, la moins sarcastique de toutes mes questions : si cette
population que vous appelez par erreur « palestinienne » n'est pas seulement
constituée d'Arabes génériques mais en grande partie d'Arabes provenant ou
plutôt expulsés du monde arabe alentour, « sous le mandat anglais plus de 200
000 sont venues d'Arabie précisément, pour s'installer avec promesses d'un
monde meilleur », si elle possède vraiment une identité ethnique qui lui
donnerait un droit à l'autodétermination, pourquoi n'a-t-elle jamais essayé
d'accéder à l'indépendance avant qu'Israël n'inflige aux Arabes une défaite
lors de la guerre des Six-jours ?</p>Comprendre le conflit israélo-palestinien sans se prendre la tête. - Daneurn:md5:78d1441864ea8e8a4fb7f4e1a14a604d2009-01-14T15:41:41+01:002009-01-14T16:19:16+01:00Dane<p>bonjour p'tite Marie ,<br />
je suivrai avec intérêt tes écrits afin de comprendre ce conflit....</p>